Musée des Beaux-Arts
Musée des Beaux-Arts : 05 57 55 33 44 / horaires d’ouvertures : le mardi après-midi de 14h à 18h et après du mercredi au samedi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h. Entrée libre. Fermé les jours fériés.
Le musée sera fermé au public en raisons de travaux du vendredi 3 au vendredi 10 janvier 2025 inclus.
Chapelle du Carmel : 05 57 51 91 05 / Horaires d’ouvertures : du mercredi au dimanche, de 10h à 13h et de 14h à 18h.
Visites commentées, gratuites, les mardis à 11h et les samedis à 14h sur inscription au 05 57 55 33 44.
Entrée libre. Fermé les jours fériés.
Expositions temporaires à la Chapelle du Carmel
Le musée dispose également de l’ancienne chapelle du Carmel qui sert de cadre à une programmation ambitieuse d’expositions temporaires. Depuis 2010, le musée veut s’imposer comme un espace de découvertes, de rencontres et d’échanges, ouvert sur le monde artistique d’hier et d’aujourd’hui.
Chaque exposition s’inscrit dans une histoire en train de s’écrire, en parfaite adéquation avec ce que veut aujourd’hui devenir le musée : un lieu où se mêlent les arts, du passé et du présent, qui promeut l’incitation à la curiosité et à l’ouverture du cœur et de l’esprit. Ont notamment été présentées dans ce lieu 101 dessins de la collection Guerlain en 2014, une rétrospective sur l’artiste Joan Mirò en 2017, ou bien des œuvres appartenant au marchand d’art juif Paul Rosenberg en 2018.
Élie Decazes (1780-1860)
Une ascension libournaise au service de la France : politique, art et industrie
12 octobre 2024 – 12 janvier 2025
à la chapelle du Carmel à Libourne
Élie Decazes est né à Saint-Martin-de-Laye dans le libournais en 1780. Son père était lieutenant particulier de la sénéchaussée et présidial de Libourne. Vers l’âge de 35 ans, il connaît une ascension fulgurante : il est nommé successivement préfet de Police, ministre de la Police, ministre de l’Intérieur puis Président du Conseil sous Louis XVIII. Parisien d’adoption, il n’oublie pas sa Gironde natale. En septembre 1818, il fait envoyer à Libourne des tableaux provenant de la collection du Roi. Ces dépôts anciens (devenus aujourd’hui propriété de la Ville de Libourne) motivent alors la création d’un musée dont la collection doit sa richesse à ce fondateur prestigieux, esthète et sincère amateur d’art. L’exposition est donc l’occasion de croiser l’histoire du musée des Beaux-Arts de Libourne avec l’Histoire de France sous la Restauration en retraçant le parcours de ce personnage hors du commun.
Traité par le Roi comme un fils, ouvert aux idées libérales et curieux du moindre progrès, il bénéficie d’une aura spectaculaire qui suscite également les jalousies. Celles-ci ont raison de sa carrière politique après l’assassinat du duc de Berry en février 1820. Il est alors nommé ambassadeur de France en Angleterre durant deux ans. Son intérêt pour les arts, l’agriculture et l’industrie ne cesse de croître, il finance des recherches, encourage le dépôt de brevets et investit dans l’aventure sidérurgique en Aveyron où une commune porte son nom : Decazeville.
L’exposition se veut ainsi à la fois biographique, muséologique, historique et artistique. Pour la première fois sera présenté au public le portrait d’Élie Decazes par François Gérard (1770-1837) dont sont tirées toutes les gravures que l’on connaît. Élève de Jacques-Louis David, François Gérard, surnommé le « peintre des rois, roi des peintres », fut peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X et portraitiste de toutes les familles souveraines d’Europe. Ce sera également l’occasion d’admirer le bureau et les tissus d’ameublement du cabinet de travail d’Élie Decazes lorsqu’il fut ministre de l’Intérieur (29 décembre 1818 – 20 février 1820), reflets du prestige des arts décoratifs en ce premier quart du XIXe siècle. Ces œuvres seront accompagnées de près de quatre-vingt sculptures, estampes, peintures, dessins, objets, costumes et archives retraçant la carrière et l’histoire personnelle d’Élie Decazes, ainsi que le contexte de son ascension sous la Restauration.
Commissariat de l’exposition : Caroline Fillon, directrice du musée des Beaux-Arts de Libourne
Scénographie : Benjamin Begey
Catalogue de l’exposition publié aux éditions Silvana Editoriale.
Vernissage public vendredi 11 octobre à 18h
Fabriquer l’art ?
Le laboratoire d’expériences
27 janvier 2024 – 24 mars 2024
à la chapelle du Carmel à Libourne
Projet participatif du Musée des Beaux-Arts et de l’École municipale d’Arts plastiques de Libourne, en partenariat avec le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA.
Le musée des Beaux-Arts et l’École d’Arts plastiques unissent leurs forces au sein d’un « Pôle Arts visuels » qui proposera régulièrement au public des projets inédits où se mêleront théorie sur l’art et pratique artistique.
Pour ce premier projet, les deux établissements sont à l’écoute de leurs publics respectifs et ont choisi de mettre en avant les questions fréquemment posées par les visiteurs du musée et les usagers de l’école sur le métier d’artiste (Comment se forme et travaille un artiste ? Quel est son rôle ? L’artiste peut-il déléguer son geste ? À quel moment un artiste sait-il que son œuvre est terminée ? etc.) et la nature des œuvres d’art (Une œuvre se définit-elle par sa prouesse technique ou l’émotion esthétique qu’elle procure ? Véhicule-t-elle toujours un message ? L’œuvre est-elle un objet fini ou une démarche artistique ? Quel est le rôle de la copie par rapport à l’original ? Comment une œuvre se retrouve-t-elle dans un musée ? etc.).
Pour mettre ces questions en perspective et tenter d’apporter des éléments de réflexion, le musée des Beaux-Arts et l’École d’Arts plastiques ont un partenaire d’exception : le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, dans le cadre de son programme régional « La Fabrique de l’art ». Ainsi, ces interrogations soulevées par le public sont illustrées par la présentation d’œuvres classiques (issues des collections du musée et d’un prêt du Musée des Arts décoratifs et Design-Bordeaux) et contemporaines (provenant de la collection du Frac). Ces associations d’œuvres s’accompagnent d’ateliers participatifs conçus par les professeurs de l’École d’Arts Plastiques et les médiateurs culturels du musée. Les visiteurs pourront y prendre part librement ou encadrés par ces derniers, afin d’exprimer – et d’expérimenter ! – leurs points de vue sur ces questions : un format collaboratif inédit grâce auquel chacun pourra laisser une petite trace de son passage…
Artistes issus des collections du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA : Dove Allouche (Sarcelles, 1972), Pauline Bastard (Rouen, 1982), École du Bauhaus (1919-1933), Jesús Alberto Benítez (Valencie, Venezuela, 1978), Christian Boltanski (Paris, 1944 – Paris, 2021), Nicolas Boulard (Reims, 1976), Cassandre Cecchella (Juvisy-sur-Ogre, 1990), Serge Comte (La Tronche, 1966), Bastien Cosson (Bayonne, 1988), Alexandre Delay (Assens, Suisse, 1941 – Bouliac, France, 2023), Francisco Tropa (Lisbonne, Portugal, 1968).
Artistes issus des collections du Musée des Beaux-Arts de Libourne : Eugène Atget, (Libourne, 1857 – Paris, 1927, Paris), Charles Paul-Alphonse Bellay (Paris, 1826 – Paris, 1900), d'après Paul Dubois (Aube, 1829 – Paris, 1905), Marie Paule Carpentier (Paris, 1876 – Saint-Cloud, 1915), Louis Cholet (Libourne, deuxième moitié du 19e siècle), Charles-Émile François (Paris, 1849 – Suresnes, 1921), d'après Winterhalter (Allemagne, 1805 – Allemagne, 1873), Henry Guillier (Libourne, 1847 – Libourne, 1912), Evariste Jullion (Libourne, 1869 - Paris, 1900), Théophile Lacaze (Libourne, 1799 – Libourne, 1846), Atelier de Pieter Mulier le jeune, dit le Cavalier Tempesta (Pays-Bas, 1637 – Italie, 1701), René Princeteau (Libourne, 1843 - Fronsac, 1914). Et plusieurs moulages réalisés au 19e siècle d’après des sculptures antiques conservées au musée du Louvre, au musée d’Orsay, au château de Versailles, au musée du Capitole à Rome, au musée national archéologique d'Athènes et au musée Pio Clementino au Vatican.
Prêt du musée des Arts décoratifs et du Design, madd-Bordeaux
Quatre pièces de vaisselle du 18e siècle à décor de trompe-l’œil, fabriquées par les manufactures de faïence stannifère du Nord, de Marseille (La Veuve Perrin) et de Strasbourg (Paul Hannong).
Vernissage public le vendredi 26 janvier à 18h.
Maurice Druon, l’homme et ses amitiés artistiques
14 octobre 2023 – 14 janvier 2024
à la chapelle du Carmel à Libourne
Avec la collaboration exceptionnelle :
· de la Maison Druon - Abbaye de Faize,
· du musée national de la Légion d’honneur et des ordres de chevalerie,
· de la maison de vente Millon à Paris
Homme de lettres, historien, académicien, résistant, ministre de la culture (1973-1974) : on ne présente plus Maurice Druon (1918-2009), co-auteur du Chant des partisans (avec son oncle Joseph Kessel et Anna Marly), des Rois maudits ou encore des Grandes familles (prix Goncourt en 1948). Dans les années 1970, il achète et restaure une ancienne abbaye du XIIe siècle située dans les environs de Libourne et choisit d’y être inhumé, liant ainsi son histoire personnelle à celle du territoire libournais. Toute sa vie fut ponctuée d’échanges, de rencontres, de complicités avec de nombreux artistes, notamment le peintre Bernard Buffet. À travers des archives et des prêts d’œuvres, pour beaucoup octroyés par la famille elle-même, l’exposition fera la lumière sur la carrière de ce grand homme, également amateur d’art et collectionneur.
Cette exposition bénéficie du prêt exceptionnel du manuscrit original du Chant des partisans (dont nous célébrons cette année les 80 ans), accordé par le musée de la Légion d’honneur et des ordres de chevalerie. Le musée des Beaux-Arts de Libourne aura également le privilège de présenter des tableaux, gravures, sculptures issus de la vente exceptionnelle organisée par la Maison Millon le 19 septembre 2023 (« Vente Maurice Druon. Inspirations d’un immortel, seconde partie – les souvenirs »). Enfin, des archives, tapuscrits, manuscrits et éditions originales de ses plus grands ouvrages seront prêtés par la famille.
Commissariat de l’exposition : Caroline Fillon, directrice du musée des Beaux-Arts de Libourne,
avec la complicité d’Hervé Marignac, chargé de la valorisation des droits et du patrimoine de Madeleine et Maurice Druon, Maison Druon - Abbaye de Faize.
Ludwik Klimek, l'odyssée du beau
Une collection libournaise
27 mai - 27 août 2023
Chapelle du Carmel à Libourne
Les collections publiques circulent dans le monde entier. Mais il est rare et précieux pour un musée, avec la complicité d’un collectionneur privé, de pouvoir présenter aux visiteurs des œuvres inédites, jamais exposées. Ce sera le cas pour cette exposition dédiée à un peintre de l’Ecole de Paris : Ludwik Klimek (1912-1992). D’origine polonaise, cet artiste diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie s’installe à Paris en 1939 où il travaille dans l’atelier d’André Lhote et à l'Académie de la Grande Chaumière. Puis, à l’image de nombreux artistes fascinés par la lumière et les couleurs du Sud-Est, il s’installe à Nice, ensuite à Menton, où il reste vingt ans avant de rejoindre Saint-Paul-de-Vence, Juan-les-Pins et Antibes où il meurt en 1992. Evoquant Picasso, Chagall ou Matisse, il est un des pionniers de la Biennale internationale d’art de Menton qui révèle de nombreux artistes à partir de la fin des années 1940. Son œuvre célèbre les paysages ensoleillés de la Méditerranée : un air de vacances souffle sur cette exposition estivale.
Entrée gratuite.
Visites commentées les mardis à 11h et samedis à 14h sur inscription au 05 57 55 33 44 - Gratuit
Ateliers jeune public tout l’été - Gratuit
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Eugène Atget, poète photographe
19 novembre 2022 – 19 février 2023 à la chapelle du Carmel à Libourne
Avec la collaboration exceptionnelle du musée Carnavalet – Histoire de Paris, Paris Musées
Du 19 novembre 2022 au 19 février 2023, le musée des Beaux-Arts de Libourne présentera une exposition dédiée à celui qui est considéré comme le père de la photographie moderne : Eugène Atget (1857-1927). Son œuvre est aujourd’hui conservée dans de prestigieuses institutions à Paris et à New-York, mais l’on sait trop peu que ce personnage est originaire de Libourne, où sa maison natale est encore visible. Ce sera donc l’occasion de revenir sur le parcours de ce photographe atypique dont le travail sur le Paris du début du 20e siècle suscita l’intérêt des surréalistes qui le récupérèrent pour illustrer leurs propres recherches.
Cette exposition bénéficie d’un prêt exceptionnel de quatre-vingt-deux œuvres accordé par le musée Carnavalet – Histoire de Paris. Parmi elles, le prêt compte soixante-seize photographies de l’artiste qui seront présentées au public, évoquant son travail documentaire sur le Vieux Paris, sa démarche d’inventaire lorsqu’il photographie, de manière presque obsessionnelle, une série de heurtoirs ou encore les voitures à cheval qui arpentent les rues de la capitale. Mais l’exposition montrera également une facette plus sensible, plus poétique du travail d’Eugène Atget à travers des clichés qui témoignent d’une attention particulière portée à des effets de brume, des jeux de lumière et de reflets. Ces photographies seront accompagnées de documents d’archives, ainsi que d’objets et de supports permettant de contextualiser sa pratique de la photographie au tournant du 20e siècle (fac-similés de négatifs, chambre photographique) et de mettre en évidence la fascination que son œuvre a pu exercer sur les artistes, longtemps après sa mort.
Commissariat de l’exposition : Caroline Fillon, directrice du musée des Beaux-Arts de Libourne,
avec la complicité d’Anne de Mondenard, conservatrice en chef du patrimoine, responsable du département des Photographies et images numériques au musée Carnavalet – Histoire de Paris
Scénographie : Benjamin Begey
L’été, le musée des Beaux-Arts de Libourne donne rendez-vous aux amoureux de la culture urbaine sous toutes ses formes. Un an après la présentation de huit street artistes réunis au sein de l’exposition « 8CLOS », cette seconde édition du cycle estival dédié à l’art urbain met à l’honneur le travail de Jérôme Revon à la Chapelle du Carmel.
Réalisateur, producteur et photographe, ce dernier se nourrit de sa pratique professionnelle dans le domaine télévisuel (moniteurs, split-screens qui décomposent limage) pour travailler ses compositions photographiques. Il y mêle les vues, les sujets, les plans, les couleurs sous forme de mosaïques ou de bandes graphiques qui scandent l’espace ; il superpose les plans pour faire vibrer l’image et abolir toute hiérarchie de lecture. Ses sources d’inspiration, il les puise dans l’espace urbain, à travers le monde : les rues, les architectures, les interventions d’artistes qui s’inscrivent dans le paysage et changent notre perception du quotidien. Il se nourrit de leur travail, le photographie à intervalles réguliers, le voit évoluer au rythme de la ville et collabore même avec certains d’entre eux, comme l’illustre son travail avec l’artiste américain JonOne.
Commissariat de l'exposition : Jérôme Revon avec la complicité de l'équipe du musée des beaux-Arts de Libourne
Exposition présentée du 25 juin au 28 août 2022.
à la Chapelle du Carmel,
45 allées Robert-Boulin, 33500 Libourne
Tél. +33 (0)5 57 51 91 05 / +33 (0)5 57 55 33 44
La Chapelle du Carmel est l’espace dédié aux expositions temporaires du musée des Beaux-Arts.
Accès en visite libre pour le public individuel : du mercredi au dimanche, 10h-13h / 14h-18h.
Accès en visite commentée pour les groupes : du lundi au dimanche sur réservation.
Visites commentées les mardis à 11 heures et les samedis à 14 heures, sur inscription au 05 57 55 33 44.
Entrée gratuite
Succès et prolongation pour l’exposition Toulouse-Lautrec : elle est prolongée jusqu’au 16 janvier 2022
En collaboration avec le Musée Toulouse-Lautrec à Albi, qui a consenti un prêt exceptionnel de plus de cinquante oeuvres majeures, le Musée des Beaux-Arts de Libourne met en lumière, dans cette exposition, l'émergence de la vocation et du talent d'Henri de Toulouse-lautrec (1864-1901) à travers les liens artistiques et amicaux qui l'unirent à celui qui fut tout à la fois son découvreur, son premier maître, son ami, son mentor : le peintre libournais René Princeteau (1843-1914).
Tous deux souffraient d’un handicap : Princeteau était sourd et muet de naissance, Lautrec était atteint d’une maladie qui fragilisa ses os et interrompit sa croissance. Tous deux transcendèrent ce handicap grâce à la pratique artistique. Leur rencontre se fit à Paris, où Princeteau avait installé son atelier que fréquentaient le père et les oncles de Lautrec. René Princeteau décela le talent précoce de celui qu’il appela son « nourrisson d’atelier ». Il le prit sous son aile artistique, le forma, l’accompagna, le conseilla. Il n’est pas prétentieux, mais factuel, de dire qu’il n’y aurait certainement pas eu de Lautrec sans Princeteau : il sut le convaincre, ainsi que son entourage, qu’il pouvait entrevoir une issue professionnelle à sa pratique artistique amateure, laquelle faisait à la base, partie de l’éducation classique d’un jeune homme issu de l’aristocratie.
C’est cette histoire que raconte l’exposition « Toulouse-Lautrec, la naissance d’un artiste », coconçue scientifiquement par le Musée des Beaux-Arts de Libourne et le Musée Toulouse-Lautrec à Albi, avec le précieux concours du Château Malromé, du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, et de Bertrand du Vignaud de Villefort, petit-neveu de l'artiste et propriétaire de sa maison natale à Albi. Des dessins d'enfant du jeune Henri à son émancipation artistique, en passant par son apprentissage minutieux sous la houlette de Princeteau autour de leur passion commune qu'était le cheval, l'exposition présente plus de soixante oeuvres qui évoquent un Lautrec intime, loin du personnage qu'il incarna en devenant "l'âme de Montmartre".
Commissariat de l'exposition : Caroline Fillon, directrice du musée des Beaux-Arts de Libourne, avec la complicité de Florence Saragoza, directrice du musée Toulouse-Lautrec à Albi.
Scénographie : Benjamin Begey & Aurélie Begey.
Exposition présentée du 9 octobre 21 au 9 janvier 22.
à la Chapelle du Carmel,
45 allées Robert-Boulin, 33500 Libourne
Tél. +33 (0)5 57 51 91 05 / +33 (0)5 57 55 33 44
La Chapelle du Carmel est l’espace dédié aux expositions temporaires du musée des Beaux-Arts.
Accès en visite libre pour le public individuel : du mercredi au dimanche, 10h-13h / 14h-18h.
Accès en visite commentée pour les groupes : du lundi au dimanche sur réservation.
Entrée gratuite
Collections
Conserver, valoriser, partager le patrimoine avec le plus grand nombre, telle est la mission à laquelle le musée se conforme depuis son ouverture il y a deux siècles.
Pour plus d’informations sur nos œuvres, vous pouvez consulter sur la base Joconde la plate-forme ouverte du patrimoine, POP, qui est le catalogue en ligne des collections des musées de France.
Installé dans le bâtiment de l’Hôtel de Ville bâti au XVe siècle et agrandi au début du XXe siècle, le musée a été créé en 1818 sur volonté du duc Elie Decazes (1780-1860), alors ministre de l’Intérieur et favori du roi Louis XVIII. Originaire de la région puisqu’il naquit à Saint-Martin-de-Laye, le duc Decazes fit envoyer à Libourne des œuvres majeures issues des collections de l’Etat, conservées au musée du Louvre. Le fonds s’est, ensuite, considérablement enrichi par des achats, dons et legs, ainsi que par le dépôt, en 1952, d’une soixantaine d’œuvres de la Ville de Créon, issues du legs Bertal.
Le visiteur peut aujourd’hui apprécier des œuvres retraçant l’histoire de l’art du XIVe au XXe siècle : école siennoise et florentine des XIVe et XVe siècles, école du Nord des XVIe et XVIIe siècles (Cranach l’Ancien, Jan van der Straet, Rubens), Renaissance italienne, école caravagesque avec une œuvre majeure de Bartolomeo Manfredi (1582-1622), œuvres du XVIIIe siècle (Jean-Baptiste Santerre, Lagrenée, Falconet, Pajou), œuvres du XIXe siècle académiques (Benjamin de Rolland, Pierre-Nolasque Bergeret, Pierre-Roch Vigneron) ou impressionnistes (Henry Moret), œuvres du début du XXe siècle (Rodin, Dufy, Foujita, Kisling).
Le musée présente également des œuvres d’artistes libournais tels que René Princeteau (1844-1914), ami et maître de Toulouse-Lautrec, Théophile Lacaze (1799-1846), peintre romantique influencé par Delacroix, et Alphonse Giboin (1828-1921), créateur de somptueux verres émaillés. Le musée conserve enfin dans ses réserves de très belles collections d’arts graphiques et ethnographiques, qui feront l’objet de futurs accrochages ou expositions. Deux mille cinq cent plaques de verre photographiques réalisées par le photographe libournais Henry Guillier (1847-1912) complètent ce fonds très riche.
Succédant à Marguerite Stahl et Thierry Saumier, Caroline Fillon a pris la direction de l’établissement en mai 2020.
Les restaurations
A l’égal des hommes, les tableaux subissent eux aussi les outrages du temps. Comme les premiers, ils vivent et vieillissent au rythme des saisons, endurant altérations et blessures de tous ordres. Il convient donc de procéder régulièrement à des suivis sanitaires et parfois à des interventions en vue de leur préservation.
Le musée a mis en place un plan pluriannuel de restauration des œuvres. S’il témoigne de sa vitalité en poursuivant l'enrichissement des collections de la Ville, il a également, et ce depuis le début des années 1990, pratiqué une politique continue de restauration d’œuvres. En outre, la restauration a également pour but de présenter ces œuvres dans les salles du musée et de les proposer ainsi à la connaissance du public.
Cet effort consenti par la Ville de Libourne est reconnu et bénéficie depuis plusieurs années d’un soutien régulier de l’Etat, via la DRAC Aquitaine.
Restaurations 2023 :
- Un dessin de Kees Van Dongen, À l’opéra, encre, crayon et aquarelle, inv. 2007.2.3 :
La restauration était essentielle afin de permettre une meilleure conservation de l’œuvre sur le long terme (retirer le carton acide sur lequel était collé le dessin, nettoyage aqueux pour déjaunir le papier), mais aussi afin de pouvoir présenter l’œuvre dans le cadre du réaménagement des salles d’exposition permanentes du musée en mars 2023, et de l’insérer dans la section sur l’Ecole de Paris dans la salle 2.
- Une peinture de Roland Oudot, Nu, 1929, huile sur toile, inv. 54.1.1 :
Restauré en vue de sa présentation dans la section de l’Ecole de Paris du nouvel accrochage des salles d’exposition permanentes (salle 2). La toile était encrassée, et le vernis oxydé et jauni, ce qui perturbait la lisibilité des couleurs originales de l’œuvre.
- Une peinture de René Thomsen, Petite fille à la robe verte, 1947, inv. D.54.1.3 :
Restauré en vue de sa présentation dans la section de l’Ecole de Paris du nouvel accrochage des salles d’exposition permanentes (salle 2). La toile était encrassée, déformée, et le vernis oxydé, ce qui assombrissait l’œuvre.
- Une peinture d’Andrea Lucatelli, Paysage à l’idylle, 18e siècle, inv. 82.1059 :
Restauré en vue de sa présentation dans la section École italienne du nouvel accrochage des salles d’exposition permanentes (salle 1). La toile était boursouflée et déformée, et nécessitait une remise en tension et une retouche des lacunes de la couche picturale.
- Une peinture de Théophile Lacaze, Mort d’une mère, 1842, inv. 64.1.9 :
L’œuvre était en très mauvais état de conservation : la toile était enfoncée et très déformée.
Restaurations 2022 :
- un dessin de Toulouse-Lautrec, Au cabaret, crayon et aquarelle sur papier, inv. 2007.2.2
La restauration était essentielle afin de permettre une meilleure conservation de l’œuvre sur le long terme (retirer le carton acide sur lequel était collé le dessin, consolider les craquelures de la gomme arabique de la gouache), mais aussi afin de pouvoir présenter l’œuvre dans le cadre d’une exposition temporaire au musée Toulouse-Lautrec d’Albi : « Quand Lautrec regarde Degas ».
- une peinture de Bartolomeo Manfredi, Le Christ chassant les marchands du Temple, vers 1615, huile sur toile, 162 x 244 cm, inv. 2019.1.22
Restauré en vue de sa présentation dans l’exposition « Theodoor Rombouts, virtuose du caravagisme flamand » au musée des Beaux-Arts de Gand du 22 janvier au 23 avril 2023.
Le cadre, infesté d’insectes xylophages, a également été traité à l’anoxie dynamique dans l’atelier de restauration de Mélissa Réglat à Bazas.
Restaurations 2021 :
- un dessin de Théophile Lacaze :
Adoration des mages, 1ère moitié du XIXe siècle, gouache et gomme arabique sur papier vélin 61,3 x 48,7 cm, inv. 64.1.2
- un dessin de René Princeteau :
La vue, dessin à l’aquarelle, XIXe siècle, 56 x 45 cm, inv. 37.3.2
- un dessin d’Henri de Toulouse-Lautrec :
Au cabaret, XIXe siècle, crayon et aquarelle sur papier, 21 x 15 cm, inv. 2007.2.2
- deux huiles sur toile de René Princeteau :
Intérieur de la grange de la ferme de Pontus, fin du XIXe siècle, huile sur toile, 92 x 73 cm, inv. 2021.3.1
Poney à l’écurie, fin du XIXe siècle, huile sur toile, 40,7 x 32,8 cm, inv. 37.1.11
Restaurations 2020 :
- deux dessins de Georges Dorignac :
Canard et perdrix, vers 1920, fusain et rehauts de craie blanche sur papier, 154,8 x 72,4 cm, inv. 2019.3.1
Pintade, vanneau huppé et canard, vers 1920, fusain et rehauts de craie blanche sur papier, 155,2 x 71,5 cm, inv. 2019.3.2
- une huile sur toile de René Princeteau :
Patrouille de Uhlans surprise par une embuscade de francs-tireurs, 1871-1872, huile sur toile, inv. 2014.2.1.
Acquisitions 2023 :
- Une toile de Henry Déziré, Paysage méridional aux oliviers (esquisse), huile sur toile, 1929, inv. 2023.1.1
Acquisitions 2021 :
- Don d’une toile de Serge Labégorre, L’Hôtel de Ville de Libourne et les arcades de la bastide, peinte entre 1970 et 1980, inv. 2021.1.1
- Don de deux œuvres de Louis-Augustin Auguin :
Dans la lède, côtes du Médoc, étude pour le tableau Dunes de Montalivet du Salon de 1883, 1883, huile sur toile, inv. 2021.2.1
Les dunes à Montalivet, 1883, dessin à la plume, inv. 2021.2.1
- Achat d’une œuvre de René Princeteau, Intérieur de la grange de la ferme de Pontus, fin du XIXe siècle, huile sur toile, inv. 2021.3.1
Acquisition 2020 :
- Achat d’une œuvre de Michelangelo di Pietro Membrini, Saint Dominique et les Albigeois, XVIe siècle, huile sur bois, inv. 2020.1.1
Les prêts
Conjointement à la programmation des expositions temporaires au Carmel, le musée apporte un soutien aux programmations françaises et étrangères par le prêt de ses collections. L’intérêt et la variété de ces dernières suscitent la convoitise de nombreux commissaires d’expositions. Les prêts consentis par le musée permettent à la collection d’aller à la rencontre de nouveaux publics et offrent également aux spécialistes l’occasion de l’étudier.
Prêts en 2023 : 6 prêts
- 2 prêts au musée de Borda à Dax pour l’exposition temporaire « Gischia et ses amis, des années 1920 à 1963 » du 31 janvier au 30 décembre 2023 :
Edouard Pignon, La bastide, 1957, huile sur toile, inv. 62.1.1
François Desnoyer, Vue sur le port de Sète, 1957, huile sur toile, inv. 57.1.1
- 1 prêt au musée des Beaux-Arts de Gand pour l’exposition « Theodoor Rombouts » du 22 janvier au 23 avril 2023 :
Bartolomeo Manfredi, Le Christ chassant les marchands du Temple, vers 1615, huile sur toile, 2019.1.22
-2 prêts au musée d’art moderne de Collioure pour l’exposition « Front de mer » du 3 juin au 8 octobre 2023 :
Raoul Dufy, Hommage à Derain et Nu, début du 20e siècle, huiles sur toiles, inv. D. 65.1.1 et D.65.1.2
- 1 prêt au musée des Beaux-Arts d’Anvers pour l’exposition « Drôles de têtes, Rubens, Rembrandt et Vermeer » du 20 octobre 2023 au 21 janvier 2024 ; puis à la National Gallery of Ireland du 24 février au 26 mai 2024 :
Pierre Paul Rubens, Triple étude d’une tête de vieillard, 17e siècle, huile sur bois, inv. D.872.1.2
Prêts en 2022 :
- Prêt au musée Toulouse-Lautrec d'Albi pour l'exposition Quand Toulouse-Lautrec regarde Degas, du 17 mai au 4 septembre 2022 :
Toulouse-Lautrec, Au cabaret, fin du XIXe siècle, dessin à l'huile et à la gouache, inv. 2007.2.2.
- Prêt au musée de la Révolution française de Vizille pour l'exposition Le paysage révolutionnaire, du 1er juillet au 3 octobre 2022 :
Jacques-André Edouard Van der Burch, Berger luttant avec une bête qu'il étouffe de ses bras dans un paysage de haute montagne, 1794, huile sur toile, inv. D.876.1.2, dépôt du musée du Louvre au musée des Beaux-Arts de Libourne.
- Prêt au musée d'art moderne de Céret pour l'exposition Ecole de Paris, du 2 juillet au 13 novembre 2022 :
Tsuguharu Foujita, L'Amitié, 1924, huile sur toile, inv. D.65.1.5, dépôt du Centre Pompidou au musée des Beaux-Arts de Libourne.
- Prêt aux Collections de Saint-Cyprien pour l'exposition Ivresse de la couleur, du 8 juillet au 30 septembre 2022 :
François Desnoyer, Vue sur le port de Sète, 1957, huile sur toile, inv. 57.1.1
Prêts en 2021 :
- Prêt au Musée Georges de Sonneville de Gradignan, pour l’exposition Cosmos, rétrospective sur Louis Teyssandier, du 10 septembre au 24 octobre 2021 :
Louis Teyssandier, Composition abstraite, XXe siècle, technique mixte (sable, huile) sur bois contreplaqué, inv. 83.1.8
- Prêts au musée Toulouse-Lautrec d’Albi, du 21 septembre 2021 au 13 janvier 2022 :
François Desnoyer, Vue sur le port de Sète, 1957, huile sur toile, 62 x 53,5 cm, inv. 57.1.1
Yves Brayer, Le Pont Neuf à Paris, 1944, huile sur toile, 73 x 92 cm, inv. 61.1.1
Roland Oudot, Nu, 1929, huile sur toile, 65 x 81 cm, inv. 54.1.1
Jeanne-Louise Brieux, Le goûter au soleil, vers 1920, huile sur toile, 100,2 x 81,5 cm, inv. 23.1.2
René Princeteau, Sur le bassin d’Arcachon, fin du 19e siècle, huile sur toile, 33,5 x 24 cm, inv. 37.1.18
René Princeteau, Promenade sur les dunes, 1892, huile sur toile, 62 x 124 cm, inv. 37.1.14
Jean Lambert-Rucki, Nature morte aux rascasses, 1937, huile sur isorel, 65 x 53 cm, inv. 2021.2.2
Prêts en 2020 :
- Prêt au Musée de l’Ardenne et Musée Arthur Rimbaud de Charleville-Mézières, pour l’exposition 1870 : hérauts de guerre, du 19 septembre 2020 au 3 janvier 2021 :
René Princeteau, Patrouille de Uhlans surprise par une embuscade de francs-tireurs, 1871-1872, huile sur toile, inv. 2014.2.1
Les dépôts
Dépôts en 2021 :
- 2 dépôts de 3 ans renouvelables au Tribunal judiciaire de Libourne, depuis le 9 juillet 2021 :
Michel Bardin, Les hauts de Jivaro, XXe siècle, acrylique, craie et pastel sur toile, 163,5 x 114,5 cm, inv. 87.1.1
André Bedin, Le vieux pin, vers 1982, huile sur toile, 83 x 102,5 cm, inv. 83.1.1
-1 dépôt d’un an au musée Toulouse-Lautrec d’Albi, du 21 septembre 2021 au 20 septembre 2022 :
René Princeteau, Les chevaux et le lapin, fin du 19e siècle, huile sur toile, 33,3 x 41,4 cm, inv. 37.1.4
L'accueil des publics
Scolaires
Des visites adaptées à tous les niveaux
A la chapelle du Carmel : en visite commentée avec un médiateur, du lundi au vendredi - durée 1h.
Prise de rendez-vous obligatoire au 05 57 55 57 43 - gratuit.
Au musée : en visite commentée avec un médiateur, du lundi au vendredi - durée 1h.
Prise de rendez-vous obligatoire au 05 57 55 57 43 - gratuit.
La visite est adaptée au niveau de la classe allant des maternelles au lycée ainsi que post-bac.
Plusieurs thématiques sont possibles : Qu'est-ce qu'un musée ? Qu'est-ce qu'un tableau ? La muséographie, le portrait, le paysage, etc.
Tout type de sujet peut être abordé, à la convenance de l'enseignant.
- Télécharger le dossier pédagogique : A la découverte du musée
-Télécharger le dossier pédagogique : Les chefs d'oeuvre du musée
Autres
Accueil de groupes constitués au musée des Beaux-Arts et/ou à la chapelle du carmel sur inscription obligatoire au 05 57 55 57 43 - gratuit.
Ateliers jeune public 2024 - 2025 : les Pattes Bleues
Le musée des Beaux-Arts propose des ateliers pour les enfants âgés de 7 à 12 ans, animés durant 2h par l’équipe de médiation culturelle. En lien avec les collections permanentes ou les expositions temporaires, les enfants découvrent des œuvres lors d’une visite commentée suivie d’un temps de pratique artistique. Un moment ludique et créatif le temps d’un après-midi.
Les mercredis Pattes bleues : les mercredis en période scolaire de 14h à 16h
Collections permanentes :
En cours de réalisation.
Les ateliers sont gratuits et se déroulent en présence de l'équipe de médiation culturelle.
Enfants de 7 à 12 ans.
Rendez-vous au musée des Beaux-Arts, second étage de l'Hôtel de Ville.
Renseignements et inscriptions par téléphone au 05 57 55 33 44
Exposition temporaire :
En cours de réalisation.
Les ateliers sont gratuits et se déroulent en présence de l'équipe de médiation culturelle.
Enfants de 7 à 12 ans.
Lieu : chapelle du Carmel - 45 allées Robert Boulin.
Renseignements et inscriptions par téléphone au 05 57 55 33 44
Les Pattes Bleues en vacances : les mardis et les jeudis période de vacances scolaires de 14h à 16h
Collections permanentes
Mout’art #2 : le guide de visite pour et par les enfants
Les enfants reproduisent les œuvres des collections permanentes du musée. Après avoir reçu les explications historiques et artistiques dispensées par le médiateur, les enfants proposent alors leur propre lecture de l’œuvre, à la fois sous la forme d’un commentaire oral et également sous forme d’une interprétation plastique.
En cours de réalisation
Les ateliers sont gratuits et se déroulent en présence de l'équipe de médiation culturelle.
De 7 à 12 ans.
Lieu : musée des Beaux-Arts, second étage de l'Hôtel de Ville - 42 place Abel Surchamp.
Renseignements et inscriptions par téléphone au 05 57 55 33 44
Exposition temporaire :
En cours de réalisation
Les ateliers sont gratuits et se déroulent en présence de l'équipe de médiation culturelle.
Enfants de 7 à 12 ans.
Lieu : chapelle du Carmel - 45 allées Robert Boulin.
Renseignements et inscriptions par téléphone au 05 57 55 33 44
Stages tout public 2024
En cours d'élaboration.
Les stages sont gratuits et se déroulent en présence d'un professionnel et de l'équipe de médiation culturelle.
Rendez-vous à la chapelle du Carmel.
Renseignements et inscriptions par téléphone au 05 57 55 33 44
Môm'Art : venir en famille
Le musée des Beaux-Arts a signé la charte Môm’Art "rédigée par des parents et des visiteurs qui ont à cœur d’accompagner les enfants au musée. Elle a pour but d’aider les musées, les muséums, les sites culturels à améliorer leur accueil et leurs services pour les familles.
En signant la charte, le musée s’engage à faire le maximum pour remplir sa mission d’accueil auprès des enfants et des familles.
Le musée souscrit aux “dix droits du petit visiteur”, qu’il rend visible pour tous à l’accueil du musée."
Les 10 droits du petit visiteur
Môm'Art – La famille au musée (mom-art.org)
Les collections permanentes
Lunettes 3D, plongez dans l'art :
Cette expérience inédite propose aux participants de partir à la découverte du port de Libourne au XVIIIe siècle et de marcher dans les pas du peintre Pierre-Jean Fournier.
Mom'art :
Avec la signature de la Charte Môm'art et l'obtention du label Musées joyeux, le musée des Beaux-Arts de Libourne met à disposition du public plusieurs activités et outils de médiation :
- Le Mout'Art, un guide du musée réalisé par les enfants pour les enfants,
- La Galerie des enfants pour découvrir les productions réalisées par nos artistes en herbe,
- Trois Parocus familles en autonomie, disponibles dans le courant de l'année : Croquonsle musée pour ceux qui aiment dessiner,
- Mon p'tit abécédaire pour ceux qui aiment écrire Il était une fois le musée pour ceux qui aiment rêver.
Jeux numériques :
Deux jeux en ligne à réaliser sur un smartphone ou tablette pour parcourir les collections :
-Enquête au musée : le mystère du collier volé
-Jeu des 7 différences : les erreurs cachées
Les Amis des Musées de la Ville de Libourne
L' association fondée en 1997 a pour but de contribuer à l'intégration des musées dans la vie de la cité et de la région ainsi qu'à leur rayonnement en France et à l'étranger. Elle apportera son concours à l'enrichissement et à la restauration des collections.
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